
Comment se faire du bien à petit prix?

Nos tuyaux, pour se faire du bien pour pas (trop) cher.
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L'été, le farniente, "le" moment de l'année où on a enfin du temps pour soi, pour se dorloter, pour retaper son corps et son esprit fatigués. On a beau se moquer durant l'année de notre "tata yoga" avec son feng shui, son thé vert et ses chakras ouverts, pendant les congés, nous aussi on se fait plaisir: alimentation saine, sport, massages, relaxation, piscine… Vous pensiez qu'avec la crise, on ne gardait ses sous que pour l'indispensable? Détrompez-vous, le secteur du bien-être (qui n'est peut-être pas aussi superflu qu'on le pense) ne se porte pas mal du tout. Comme si, paradoxalement, la crise nous poussait justement à prendre soin de nous. Surtout en vacances. Moustique fait le point sur ce véritable marché du "wellness", sur ses nouveautés parfois insolites, et vous refile ses bons plans. Car se faire du bien ne coûte pas forcément les yeux de la tête.
Ça peut surprendre, mais tout comme l'industrie du luxe, le marché du bien-être n'a pas autant souffert de la crise qu'on pourrait le penser. Certes, certains instituts de beauté et de massage ont dû se montrer innovants dans leur offre: formules d'abonnements, forfaits, promotions last minute et chèques-cadeaux. Mais d'autres secteurs, comme l'alimentation et les produits de soin bios, se portent mieux que jamais. Cette bonne santé du marché, malgré la tempête, s'explique par plusieurs facteurs.
D'abord, pour les instituts de massage haut de gamme, dans les quartiers chic, la clientèle n'a pas souffert de la crise au point de se priver de ces "modestes" plaisirs à 100 € l'heure de massage, parfois plus. Ensuite, parce que même dans la classe moyenne, le bien-être fait partie des choses sur lesquelles on ne transige pas. "C'est comme les vacances, dit Brigitte, adepte des massages du visage et du cou (95 €/h) une fois par mois. On se prive tellement toute l'année pour l'essentiel que, une fois pas an, on a envie de se faire plaisir. Marre des sacrifices. Les vacances et le bien-être, ce sont des postes qui, bizarrement, ne diminuent pas beaucoup, même en temps de crise."
Tous nos bons plans dans le Moustique du 17 juillet.