Explosion de couleurs et de sons au Summer Festival

Le Summer Festival, c’était pour nous une grande nouveauté. On en avait vaguement entendu parler ces deux dernières années et cette fois, on s’y rendait. Entre Spring Break à l’espagnole et décors à la Tomorrowland, nos reporters sont allés de surprises en surprises !

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Le départ est programmé milieu de matinée à Bruxelles, direction Anvers Sud. La route est rapide, le ciel dégagé et à 11h le thermomètre indique déjà 20 degrés ! Dès la sortie d’autoroute, il suffit de suivre les groupes de (très) jeunes qui se dirigent visiblement tous vers un même point… Au bout de quelques instants, au milieu des arbres, apparaissent les chapiteaux. Enregistrés, nous nous dirigeons vers l’entrée principale. La journée sera chaude.

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12h sonnantes, les barrières s’ouvrent et c’est la ruée ! Notre équipe découvre alors le site: incroyable. Une plaine de gazon anglais coupé parfaitement la veille, des décors impressionnants (même les bâches recouvrant les barrières sont imprimées, aux couleurs du festivals ou variant selon les scènes). Un très bon début. On décide de se balader un peu, de se familiariser avec les lieux, de la MNM Stage à la Teknology Zone à l’autre bout, en s’arrêtant à la Miami Beach pour se relaxer et commencer en douceur. La Miami Beach, c’est un peu le lieu où se ressourcer au Summer Festival. Une musique plus posée, un espace plus réduit, entouré par la nature, du sable fin au sol, un petit bar à mojito, des lanternes marocaines dans les arbres et des pavillons de bois directement venus des Caraïbes. C’est agréable.

13h – Pepsi Max MainStage. Premier djset de la journée auquel nous assistons entièrement. Notre équipe n’est pas convaincue par la performance très moyenne de Romeo Blanco. C’est le premier, on restera indulgents, d’autant plus que la scène nous en jette plein les yeux. Après une bonne heure, celui que tout le monde attend arrive enfin. La plaine est comble. Martin Solveig fait son entrée ! Certes, c’est commercial et industriel, mais son set passe bien sous le soleil qui tape, les gens bougent, les styles se mélangent (et se confondent parfois). Il nous surprend, plutôt positivement. Une performance allant de correcte à bonne. On ne regrettera pas de l’avoir attendu.

Changement de genre à la Jupiler Red Light District, où la scène se trouve au centre de la tente et où le plateau sur lequel mixent les djs tourne ! Vato Gonzalez & Mc Tjen s’occupent de faire bouger les quelques personnes qui n’assistent pas/plus au show de Solveig. On décide de se diriger vers la Blacklight Arena où le belge Mr Magnetik a pris possession des platines. Il est passé par Dour, aux Ardentes et cette année on le retrouvera aux Francos ainsi qu’au Laundry Day. Ca bouge, le son percute et traverse le public, ça change de la grande scène et ce n’est vraiment pas un tord. D’ailleurs, au fur et à mesure de la journée, c’est finalement ici que nous entendrons sans doute les meilleurs sons.

On enchaine ensuite par Dr Phunk à la Teknology Zone. Il envoie du lourd, du très lourd et ça fait un bien fou. Le public est déchaîné, ça jump dans tous les coins, la tente est superbement décorée. Alors qu’on ne le connaissait que vaguement, on accroche instantanément, ici on profite jusqu’à la dernière note ! Certainement dans notre top 5 de la journée. On passe quelques instants voir The Opposites à laMainstage mais le set mélange hard et house d’une façon un peu trop surprenante. C’est drôle dirons-nous. Et à ce même moment se produit en live Danger Hardcore Team à la Raw&Hard, ni une, ni deux, on s’y dirige. Pour le coup, l’équipe porte bien son nom et sort un hardcore bien dur qui transperce complètement. La (très) petite salle est comble, le show vaut le coup d’oeil avec des masques peu rassurants aux allures de Joker. Vingt minutes de son bien hard.

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