

En témoigne Vendre les prés, constat amer mais poétique sur le dépeuplement des campagnes. Ailleurs, il est question de rivières sans poissons, de chevaux qu'on achève bien, mais aussi d'un champion cycliste espagnol pour qui "tout va bien, Tourmalet".
Nous, on penche pour Luis Ocaña. Murat brille toujours par ses mots (Alexandrie, Je voudrais me perdre de vue) et ses arrangements country. Mais sera-ce suffisant pour toucher les non-convertis? Pas sûr.
Le 22/10, Festival Nuits indés, Liège. 20/11 au Bota.
Jean-Louis Murat
Grand Lièvre
Universal