
Les films à aller voir avec des enfants pendant les fêtes

Hunger Games 2: L’embrasement
Attendu par des cohortes de fans, ce deuxième épisode de la saga fait des étincelles à tous les niveaux! Parce que son histoire est bien ficelée (Kris et Peeta participent aux 75es jeux et vont exploser tous les carcans). Car Jennifer Lawrence élève fameusement le niveau de jeu. Et, surtout, parce que sous ses airs de blockbuster qui s’assume, cet Embrasement n’hésite pas à prendre parti. En égratignant assez sérieusement la téléréalité et ses dérives possibles, voire carrément probables. Bref, quand un film du genre mêle gros divertissement et petit message bien placé, on peut y emmener ses ados de 12 à 16 ans.
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Amazonia
L’histoire d’un singe habitué à vivre en captivité et qui se retrouve projeté dans la forêt amazonienne sert surtout de prétexte à une plongée immersive dans une végétation luxuriante de la forêt amazonienne. Les images sont magnifiques, le capucin très attachant, la 3D bien gérée, et le message écolo (quoique simpliste) bien emballé et destiné aux 7 à 13 ans.
La reine des neiges
On quitte la machette pour la baguette magique et l’univers féerique de La reine des neiges, le nouveau Disney, calibré sur mesure pour devenir le conte de fées majeur de cette fin d’année, avec ce qu’il faut de princesses, de prince charmant, de tonnes de neige, de rêve et de féerie. Tout ça dans un univers onirique et parfaitement réalisé. Au final, cette Reine des neiges ne laissera pas grand monde, et surtout pas les petites filles de 5 à 9 ans, de glace.
Le manoir magique
Plus apaisée mais tout aussi magique, et prévue au même moment, voici donc la nouvelle production des studios belges qui ont déjà donné naissance aux deux aventures de Sammy, la tortue de mer la plus craquante des eaux du globe. Cette fois, on suit les pérégrinations de Tonnerre, un jeune chat abandonné par ses propriétaires. Qui va retrouver une nouvelle vie lorsqu’il est recueilli par un magicien. Pour le meilleur et pour le rire… Des personnages attachants, des gags en pagaille, une bande-son qui plaira aux parents accompagnant leur progéniture (The Cure et Madness en tête!), sans oublier un scénario solide et bien construit! Ce brillant dessin animé made in Belgium n’a rien à envier aux productions sortant des studios Disney. Dès 5 ans!
La vie rêvée de Walter Mitty
Ben Stiller sortira le 25 décembre l'une des grandes surprises de cette année. L'histoire de Walter Mitty, un homme simple qui s'échappe dans d'étranges rêveries dans lesquelles il se voit super-héros, ou aimé par la femme qu'il aime... Et qui un beau jour devra passer à l'action dans le monde réel. Direction l'Islande à la recherche du négatif d'une photographie. Sorte de Forrest Gump version 2013, voilà un film aérien qui nous donne envie de dépasser nos rêves et d'être heureux. La bande originale est top. Et les mômes fans de skateboard seront comblés. On ne vous en dit pas plus... Une petite merveille. Dès 13 ans.
Mais encore…
Pour les petits
L’île des Miam-Nimaux .
Le 25 décembre, on passe à table! Avec la suite du délirant Tempête de boulettes géantes (2009). Cette fois, la machine à faire tomber des burgers inventée par le Professeur Flint menace de dérailler, voire de carrément mettre le monde en danger! Indigestion de rires garantie face à ce grand moment de délire conseillé à partir de 7 ans.
L’apprenti père Noël et le flocon magique .
Définitivement intronisé père Noël à la suite de ses premières aventures (L’apprenti père Noël en 2010), Nicolas découvre qu’il risque de grandir trop vite. Humour, intelligence et esprit de Noël sont au programme de cette féerie à destination des 4 à 7 ans.
Loulou - l’incroyable secret . Loulou le loup et Tom le lapin sont inséparables, mais leur amitié est mise à rude épreuve. Adapté d’une série de livres très attachants, ce dessin animé est drôle (mais pas hilarant) et plein de sensibilité. A partir de 5 ans…
Pour les plus grands
Belle et Sébastien.
Adaptation sur grand écran de la série télé qui a fait pleurer dans les chaumières à longueur de mercredis après-midi au début des années 80. Un bon plan pour les parents quadras un brin nostalgiques et leur progéniture de 8 à 12 ans.
Gravity.
Parce qu’il n’y a pas d’âge pour se plonger dans ces images sublimes et un récit qui rappellera les jeux vidéo genre rescue games aux spectateursdès 13 ans.
Le Hobbit.
Bestiaire fantastique, paysages vertigineux et batailles épiques: la magie opère une fois de plus. Dès 12 ans.
Sur la terre des dinosaures.
Voilà 70 millions d’années, un bébé dino doit arriver à l’âge adulte sans se faire avaler par ses semblables et déchiqueter par ses ennemis. Spectacle garanti dès 8 ans.
16 ans… ou presque.
Quand un trentenaire bien rangé retombe en enfance, ça donne une comédie tourbillonnante avec un Laurent Lafitte déjanté. Pour l’âge limite, tout est dans le titre.