

Toutefois, à force de ramasser les louanges et de côtoyer des pointures (Matthew Herbert, Andrew Bird), la diva a parfois du mal à maîtriser son ego. Sans doute en quête d’une plus large audience, le Britannique se prête au jeu de la grande distribution, délaissant la noirceur de son album précédent (The Bachelor) au profit de symphonies ronflantes qui viennent chercher l’émotion avec cœur mais sans délicatesse. Si les violons ont étouffé toute rébellion, on peut toujours compter sur sa voix imposante et son écriture impeccable.
LE 18/8 AU PUKKELPOP.
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