

Caché derrière le sobriquet Tomorrow’s World, le couple enregistre une bande son new-wave à forte propension cinématographique.
Sombre, élégant et éthéré, ce disque rappelle aux distraits que c’est bien Jean-Benoît Dunckel qui manœuvrait dans l’ombre aux côtés de Charlotte Gainsbourg sur "5:55".
À l’écoute de "Tomorrow’s World", on reconnaît d’emblée le touché synthétique de J.B. Précis, atmosphérique, il offre un écrin luxueux au timbre langoureux de sa partenaire britannique. -
Tomorrow’s World
Tomorrow’s World
Naïve Records/PiaS