
10 choses à savoir sur Georges-Louis Bouchez, candidat à la présidence du MR

Ce 10 choses à savoir a initialement été publié dans la version papier du Moustique le 1er août 2018.
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Origines
Petit-fils d’un mineur et d’un militaire, fruit d’un mariage entre l’Italie et la Belgique, Georges-Louis Bouchez fait ses études primaires et secondaires à Mons avant d’empocher une maîtrise en droit à l’ULB, en finalité droit public.
Formule 1
Quand il sera grand, Georges-Louis se voit champion de Formule 1 ou Premier ministre. À 32 ans, il a fait une croix sur la course automobile, mais voue toujours un culte à Lewis Hamilton, son pilote favori. Et s’il gagne un jour au Lotto, il rachètera une écurie de F1.
Jeunisme
Délégué de classe dès les primaires, il participe à sa première élection comme candidat sur la liste communale à Mons. Il a 20 ans. Après ses études, il est engagé comme conseillé au cabinet du ministre des Finances Didier Reynders. Son rêve.
Mentors
Ex-fan de Nicolas Sarkozy, ce trublion libéral se rapproche aujourd’hui du président français Emmanuel Macron. Ni de gauche, ni de droite, affirme-t-il, et particulièrement critique sur le système des partis.
Sobriété
Grand amateur de sports, il ne fume pas, ne boit que du coca. Et cet hyperkinétique ne part que rarement en vacances car, dit-il, il s’ennuie vite et aime trop son boulot pour s’en éloigner.
Tatoué
L’ébouriffé conseiller communal montois arbore trois tatouages sur son bras et son épaule droits. Un Apache pour l’aspect guerrier, un Bip-Bip pour la rapidité et un samouraï, symbolisant l’honneur.
Service minimum
Georges-Louis n’est pas tendre avec les grévistes. Une attitude qui remonte à ce jour de grève générale où un syndicaliste fit fermer la boutique d’électroménager de sa mère.
Clash
Vivement opposé à la nomination de la nouvelle directrice générale adjointe de la ville de Mons, Anne-Sophie Charle (ex-cheffe de cabinet d’Elio Di Rupo), il l’humilie publiquement devant son jeune garçon qui l’accompagnait lors de sa prestation de serment. Même la fédération MR locale décide de prendre ses distances avec le roi du clash.
N-VA
Interview croisée, like de tweets, rencontres... Les deux enfants terribles de la politique belge ne se détestent pas. Loin de là. "C’est un homme intéressant, et une voix qui porte dans le débat. Il a un grand futur", déclarait à son propos Theo Francken, ex-secrétaire d’État à la Migration (N-VA) dans La Libre.
Cavalier seul
Fin de l’obligation de vote, cannabis social club, allocation universelle, suppression des provinces... Des thèmes défendus par GLB même lorsque le MR s’y oppose. Anti-système, on vous disait.