
Dix œuvres musicales et cinéma inspirées par le Mur de Berlin

La Vie des autres
Ce film dramatique ayant obtenu l’Oscar du Meilleur Film Etranger en 2007 montre le Berlin Est de 1984, les dérives de la société est-allemande entre surveillance policière et dénonciation. Un réalisme historique.
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Good Bye Lenin !
Cette comédie montre la réalité d’un Berlin-Est qui bascule du jour au lendemain dans le système capitaliste. Drôle, corrosif et un brin nostalgique.
Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée…
Tiré d’une autobiographie, ce film raconte les déboires et les problèmes familiaux d'une jeune adolescente droguée et de ses amis dans le Berlin de la fin des années 1970. Bande son fabuleuse de David Bowie.
Le Pont des Espions
Un film historique basé sur l’histoire vraie d’un échange d’espions entre les Américains et les Soviétiques. Une description juste de ce que fût la Guerre Froide. On y voit la construction du Mur.
Le Tunnel
Basé sur l’histoire vraie d'un groupe de personnes qui creusèrent un tunnel entre mai et septembre 1962 sous le Mur de Berlin. Invraisemblable mais pourtant vrai.
Holidays in The Sun des Sex Pistols
Un hymne punk, l’un des titres phare de "Never Mind The Bollocks", le seul album des Sex Pistols, le morceau est à lui tout seul un résumé de l’Histoire du 20ème siècle. Entre marche nazie, Guerre Froide, société de la consommation et société des loisirs.
La Trilogie berlinoise de David Bowie
Bowie a habité Berlin à la fin des années ’70. Il en tirera trois somptueux albums : « Low », « Heroes » et « Lodger ». David Bowie fait une allusion au Mur dans la chanson « Heroes ».
The Passenger d’Iggy Pop
Iggy Pop a lui aussi passé quelques mois à Berlin, en même temps que Bowie. Il y a écrit « The Passenger » qui raconte l’histoire d’un homme regardant le monde défiler à partir d’un wagon de train. Ce train est le S-Bahn de Berlin.
Berlin par Lou Reed
Contrairement à Bowie et à Iggy Pop, Lou Reed n’a jamais habité Berlin. C’est en 1973 qu’il sort « Berlin » qui fût un flop à l’époque. C’est sans doute le morceau le plus mélancolique de l’histoire du Rock.
First we take Manhattan de Leonard Cohen
Une grande intuition artistique que cette chanson écrite en 1986 et qui décrit une forme de terrorisme apocalyptique qui envahit d’abord Manhattan puis… Berlin.