

Les prix sont à la hausse depuis plusieurs semaines, principalement à cause de la réduction de 60% du débit d'un pipeline russe vers l'Allemagne. La crainte que Moscou ferme complètement le robinet est de plus en plus réelle, ce qui menacerait l'Europe d'une pénurie cet hiver. Le préavis de grève en Norvège complique encore la situation, puisque jusqu'à 13% de l'exportation journalière des champs concernés pourrait ne pas être délivrée.