Comment la Belgique vient de sauver Londres du black-out in extremis

Sans une aide salvatrice de la Belgique, Londres se serait retrouvée sans électricité sur une partie de son territoire.

Londres
Londres vue du ciel © Unsplash

Mercredi 20 juillet dernier, au lendemain de la journée la plus chaude jamais enregistrée au Royaume-Uni, certains quartiers de Londres ont échappé de justesse au black-out, notamment grâce au câble sous-marin Nemo Link relié à la Belgique, écrit l'agence de presse Bloomberg.

Nos dernières vidéos
La lecture de votre article continue ci-dessous

Le Royaume-Uni en panne

Si les Britanniques ont échappé à la coupure d'électricité, cela a eu un prix. Ils ont dû débourser 9.724,54 livres (équivalent à environ 11.424,9 euros) par mégawattheure pour avoir accès à cette énergie, soit environ 5.000 % de plus qu'en temps normal, c'est un record.

Concrètement, la demande croissante d'électricité s'est heurtée à un goulet d'étranglement sur le réseau électrique britannique, menaçant de priver d'électricité les parties est de la capitale britannique. Londres a dû importer de l'électricité entre 12h00 et 13h00. «Si la Belgique n'était pas venue à la rescousse, le gestionnaire du réseau aurait été obligé de gérer la demande et de déconnecter des foyers», a déclaré un porte-parole du réseau britannique.

Débat
Sur le même sujet
Plus d'actualité