
Les meilleurs films de ce 15 juin

La Une 14h40:Doux, dur et dingue [2*]
De James Fargo (1978). Avec Clint Eastwood, Sondra Locke.
La lecture de votre article continue ci-dessous
Pas sûr qu'Eastwood apprécie qu'on dise de lui qu'il aime faire le singe, mais c'est pourtant le cas ici, puisqu'il partage l’écran avec un sympathique orang-outan qui vole presque la vedette à Sondra Locke, compagne de l'acteur à l'époque. Ce trio improbable en dit long sur les péripéties farfelues qui jalonnent le récit, mais une bonne humeur générale règne sur le film et débouchera même sur une suite - Ça va cogner - du même acabit.
Be 1 20h55: Blanche-Neige et le chasseur [2*]
De Rupert Sanders (2012). Avec Kristen Stewart, Charlize Theron.
Deux mois après le Blanche-Neige de Tarsem Singh avec Julia Roberts, la version proposée par Rupert Sanders débarquait sur les écrans, histoire de demander au miroir quel film des deux était le plus beau. Sans vouloir comparer, cette adaptation plutôt gothique du conte des frères Grimm bénéficie d'une excellente qualité technique, tant pour les images que pour les décors et les costumes. Le bémol provenant d'une Kristen Stewart assez pâlotte en Blanche-Neige.
AB3 20h30: Crocodile Dundee II [1*]
De John Cornell (1988). Avec Paul Hogan, Linda Kozlowski.
Après le carton des aventures décalées du chasseur de crocos australien à New York, les producteurs ont tout naturellement voulu entendre encore résonner le tiroir-caisse. On prend donc les mêmes et on recommence, en inversant cette fois les situations: la journaliste américaine se retrouve dans le pays natal de Crocodile Dundee pour une suite sans grande originalité mais agrémentée des superbes paysages de l'Australie.
RTL-TVI 20h50: Ça se soigne? [1*]
De Laurent Chouchan (2007). Avec Thierry Lhermitte, Julie Ferrier.
La grosse déprime peut toucher n'importe qui, y compris un grand chef d'orchestre, mais pas de drame plombant au programme dans Ça se soigne qui propose justement un remède par le rire. La comédie passe toutefois en partie à côté de son objectif, car si quelques scènes tordantes valent le détour, la thérapie se révèle plutôt plate dans l'ensemble, malgré un Thierry Lhermitte au look improbable et un caméo de Gérard Jugnot.