
Les meilleurs films de ce 1er décembre

La Deux 13h15: Coach Carter [2*]
De Thomas Carter (2005). Avec Samuel L. Jackson, Rob Brown.
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Un coach de basket remballant tous ses jeunes joueurs à cause de leurs mauvais résultats scolaires: seul Hollywood a le secret de telles histoires. Sauf que celle-ci est authentique! Et elle ne pouvait qu’attirer les producteurs, trop heureux de combiner un scénario sur un des sports rois aux USA avec une flopée de bons sentiments. Heureusement, le propos va plus loin en dénonçant, grâce à un Samuel L. Jackson inspiré, les failles du système éducatif américain.
AB3 20h30: Crocodile Dundee [2*]
De Peter Faiman (1986). Avec Paul Hogan, Linda Kozlowski.
Un chasseur de crocodiles australien quitte son pays natal et ses étendues sauvages pour une autre jungle, celle de New York. Contraste énorme évidemment et prétexte idéal pour une comédie savoureuse et décontractée jouant à fond sur le décalage entre le personnage principal et cet univers si différent du sien. Énorme succès public à l’époque, Crocodile Dundee a un peu vieilli mais le style impayable de Paul Hogan fait toujours mouche.
Be 1 20h55: Identité secrète [2*]
De John Singleton (2011). Avec Taylor Lautner, Lily Collins.
Le début d’Identité secrète - beaux mecs et jolies nanas autour d’une piscine - semble augurer d’un énième teen movie insupportable. Mais après une mise en place un peu longue, le thriller pointe enfin le bout de son suspense et livre alors son lot d’action. Calibré de toute évidence pour les jeunes, le film n’est pas d’une originalité folle mais constitue un bon divertissement pour le public ciblé.
RTL-TVI 22h50: Defendor [2*]
De Peter Stebbings (2009). Avec Woody Harrelson, Kat Dennings
Pas de chance pour Defendor, l’hilarant et survolté Kick-Ass l’a complètement éclipsé, alors que le thème du super-héros de pacotille est relativement similaire. Souffrant sans doute d’une trop grande sobriété dans son développement, le film aborde par ailleurs l’affrontement du bien et du mal avec un certain manichéisme. Mais l’interprétation joyeusement débridée de Woody Harrelson accomplit des merveilles.