Les meilleurs films de ce 28 février

Rtl-Tvi 20h20: Remember me [2*]

D’Allen Coulter (2010). Avec Robert Pattinson, Emilie de Ravin.

Histoire de tuer le temps entre deux épisodes de Twilight, Robert Pattinson prouve qu’il possède une certaine variété dans son jeu, même si c’est également une histoire d’amour qui constitue le thème central de Remember me. Celle-ci est toutefois agrémentée d’une réflexion croisée sur le deuil qui ne manque pas d’émotion et de pertinence, tout en proposant un dénouement inattendu.

Rtl-Tvi 22h45: Une affaire de cœur [2*]

De Peter Howitt (2004). Avec Pierce Brosnan, Julianne Moore.

Juste après avoir rangé – bien malgré lui - le costume de 007 au placard, Pierce Brosnan se reconvertit dans la comédie romantique dans ce sympathique duo avec Julianne Moore, où deux avocats aux méthodes opposées vont pourtant se rapprocher l’un de l’autre. Si l’histoire s’avère des plus convenues, l’interprétation bourrée de charme des deux comédiens compense les faiblesses de l’ensemble en lui apportant la fraîcheur nécessaire.

France 3 23h25: Une époque formidable [2*]

De Gérard Jugnot (1991). Avec Gérard Jugnot, Richard Bohringer.

Vingt ans plus tard, cette comédie douce-amère n’a pas perdu grand-chose de son intensité. La détresse sociale décrite par Jugnot interpelle doublement car le personnage qui en souffre est le prototype même d’un Monsieur Tout-le-monde pris dans un engrenage infernal le menant tout droit à la rue. Les dialogues ciselés et le mélange de drôlerie, d’émotion et de poésie rendent l’ensemble particulièrement attachant. 

Tf1 2h50: Dérapage [1*]

De Mikael Hafström (2004). Avec Clive Owen, Jennifer Aniston.

Les noctambules jetteront un œil curieux à ce Dérapage trop contrôlé qui bénéficie pourtant d’un joli casting et d’un canevas de départ pouvant déboucher sur un thriller des plus convenables. La rencontre des deux personnages principaux et le déroulement de l’intrigue installe un certain suspense, mais celui-ci est tempéré par l’impression que tout a été révélé trop vite et qu’une morale typiquement américaine vient mettre son grain de sel pour gâcher l’ambiance.