Les meilleurs films de ce 28 juin

Découvrez des extraits vidéos des 4 films choisis par la rédaction qui sont diffusés aujourd'hui en télé.

  • Copycat, avec Sigourney Weaver
  • Le mur invisible, d'Elia Kazan
  • Lucky Girl, avec Lindsay Lohan
  • Chez Gino, avec José Garcia

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France 3 23h10:Copycat [2*]

De Jon Amiel (1995). Avec Sigourney Weaver, Holly Hunter.

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Difficile d’être original quand on prend pour sujet un phénomène aussi à la mode dans les années 90 que les serial killers. Amiel s’en tire plutôt bien en imaginant un tueur qui copie ses illustres prédécesseurs et en lui opposant deux stars féminines au physique opposé: la longue tige Sigourney Weaver et la fluette Holly Hunter. Quelques scènes mettent nos nerfs à rude épreuve et le récit va crescendo jusqu’à l’affrontement final.

Club RTL 22h25: Le mur invisible [2*]

D’Elia Kazan (1947). Avec Gregory Peck, Dorothy McGuire.

Malgré son aspect trop statique et bavard, ce Mur réalisé par Kazan à ses débuts reste important pour avoir été le premier à dénoncer, dans l’immédiat après-guerre, l’antisémitisme larvé sévissant aux États-Unis. Le film rend aussi hommage au quatrième pouvoir, celui de la presse, incarné ici par un journaliste qui a la prestance de Gregory Peck.

RTL-TVI 22h15: Lucky Girl [2*]

De Donald Petrie (2006). Avec Lindsay Lohan, Chris Pine.

La chance, ça va, ça vient, on ne sait jamais quand et sur qui ça tombe. Surtout quand une Miss du showbiz à qui tout réussit rencontre un gars porte-poisse qui veut monter un boys band. Et si le bol change de camp, ça ne bouscule pas un train de marchandises mais ça peut donner, comme dans Lucky Girl,une comédie charmante malgré son propos parfaitement inoffensif.

Be 1 21h35: Chez Gino [1*]

De Samuel Benchetrit (2011). Avec José Garcia, Anna Mouglalis.

Pour toucher un héritage qu’il croit plantureux, Gino, patron d’une pizzeria bruxelloise en déclin, doit prouver qu’il est le digne neveu de son oncle, un mafioso redoutable. Il engage un réalisateur censé mettre en valeur son côté Parrain. L’ombre affadie et lourdement parodique de Coppola plane sur cette comédie foutraque où Benchetrit ne réédite pas l’exploit de J’ai toujours voulu être un gangster, à savoir apporter un regard neuf et décalé sur une certaine mythologie cinématographique.

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