Les meilleurs films de ce dimanche 8 mai

Quatre étoiles, Shaun of the Dead, Quand j’étais chanteur, ... Découvrez des extraits vidéos et nos avis sur notre sélection de films diffusés ce dimanche en télé.

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France 2 20h35: Quatre étoiles (3 étoiles)

De Christian Vincent (2006). Avec Isabelle Carré, José Garcia.

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Décidée à profiter pleinement d’un héritage inopiné, Franssou se paie du bon temps dans un palace cannois et tombe sur Stéphane, un baratineur-escroc. Lequel va mener l’autre par le bout du nez? Peu importe, en fin de compte, puisque leur duel nous vaut un festival de scènes piquantes, brillamment enlevées, avec une étonnante et très glamour Isabelle Carré.

France 4 20h35: Shaun of the Dead (3 étoiles)

D’Edgar Wright (2004). Avec Nick Frost, Simon Pegg.

Au début de ce troisième millénaire, le film de zombies connaît une nouvelle flambée. Après Dawn of the Dead et le Land of the Dead de Romero, voici l’épatant Shaun of the Dead qui ne se veut niune parodie, ni une grosse machine boostée aux trucages numériques. Démarrant comme une comédie acide sur le couple, ce film allumé brocarde le "british way of life" et vire imperceptiblement au gore. Nous sommes tous en danger de lobotomisation, semblent nous dire avec malice les auteurs.

La Une 20h50: Quand j’étais chanteur (2 étoiles)

De Xavier Giannoli (2006). Avec Gérard Depardieu, Cécile De France.

Depardieu incarne un crooner de province au cœur en veilleuse, bientôt réveillé par l’arrivée de Marion, une jeune femme en pleine dérive sentimentale. Détail pas anodin: l’action se passe autour de Clermont-Ferrand, pays de volcans éteints… prêts à sortir de leur léthargie? Si Xavier Giannoli, l’auteur d’Une aventure, ne se renouvelle guère en détaillant la valse-hésitation amoureuse d’un tandem incongru, son talent d’observateur fait mouche dans les nombreuses scènes de bal.

Arte 20h40: Chère Martha (2 étoiles)

De Sandra Nettelbeck (2002). Avec Martina Gedeck, Sergio Castellitto.

Bien défendue par Martina Gedeck, en chef cuistot incapable de nouer des relations avec son entourage en dehors de ses prouesses gastronomiques, cette analyse d’une névrose pas comme les autres oscille entre mélancolie et optimisme, moments poignants et scènes répétitives ou desservies par une musique passe-partout. Mais l’originalité de l’ensemble et le regard chaleureux de la réalisatrice balaient ces réticences.

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