
Les meilleurs films du 2 septembre 2014

Gladiator [3*]
AB3 20H05
De Ridley Scott (2000). Avec Russell Crowe, Joaquin Phoenix.
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Ridley Scott filme avec emphase la révolte du général romain Maximus, devenu gladiateur après le massacre de sa famille par le jaloux Commodore, fils de Marc Aurèle. Gladiator est à la fois un spectacle total et une fable mystique sur l’univers impitoyable des gladiateurs. Alliant de grandioses scènes de bataille et de l’intime à fleur de peau, cette épopée pleine de panache, dont le seul défaut est une musique omniprésente, mérite un lever de pouces.
Les fugitifs [2*]
CLUB RTL 20H25
De Francis Veber (1986). Avec Gérard Depardieu, Pierre Richard.
Après La chèvre et Les compères, Veber met une troisième fois en scène son duo explosif Depardieu/Richard. La surprise n’est plus là, mais ces aventures rocambolesques fonctionnent à merveille sur le duo antinomique de la brute et du maladroit. Une scène d’anthologie: Carmet, jouant un vétérinaire bigleux, se voit contraint d’opérer Depardieu et de lui enlever la "baballe" que son compère lui a malencontreusement tirée dans la "papatte"!
Turbo [2*]
BE1 20H55
De David Soren (2013). Avec les voix de Ryan Reynolds, Samuel L. Jackson.
Pas facile d’être à la fois un escargot et un fana de la vitesse! Un Dreamworks mineur, sans doute. Mais ce Fast And Furious chez les mollusques a de quoi plaire à un jeune public avide de couleurs flashy et de gags qui divertissent jusqu’à la ligne d’arrivée.
Le coup du parapluie [2*]
CLUB RTL 22H10
De Gérard Oury (1980). Avec Pierre Richard, Valérie Mairesse.
C’est peut-être parce qu’il vient de fêter ses 80 printemps le 16 août dernier que Club RTL nous rappelle combien Pierre Richard est un génie du burlesque. Cela frappe encore plus les yeux dans cette comédie inspirée d’un fait divers (un Bulgare est tué en 1978 à Paris avec la pointe d’un parapluie enduite de cyanure), centrée entièrement sur le comique visuel de l’acteur. Nanti sans le savoir du fameux parapluie, il multiplie les gags insensés et les quiproquos avec la distraction géniale d’un véritable innocent de la Lune.