

En cause, sa mère, une fringante octogénaire qui a fui sa maison de retraite pour rejoindre une communauté de veuves libertaires. Mais ce qui devait être un aller-retour en deux coups de cuillère à pot menace de s'éterniser. Les catastrophes s'accumulent sur la tête de Fred et une humiliation publique le met à genoux. La morale de cette histoire? Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse, sauf si l'on peut compter sur de vrais amis et reconnaître l'amour lorsqu'il pointe le bout de son mufle. Parce qu'il n'est jamais trop tard pour se mitonner une vie meilleure. - M.B.