
The Voice Belgique

Êtes-vous satisfait de cette deuxième édition de The Voice? Toujours heureux de participer à cette aventure ?
Quentin Mosimann - Oui, ce cru 2013 est exceptionnel. Au début, c'était un petit peu difficile de trouver des talents, ils ne me choisissaient pas forcément… C'est même devenu une sorte de guéguerre entre Marc (de Suarez) et moi. Finalement, ces deux dernières semaines m'ont été très profitables et je commence à me venger. Et puis, j'aime prendre mon temps: seuls les vrais gagnants me choisissent (rire).
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Le montage des premières émissions vous fait passer pour le Calimero de la bande. Ça vous a vexé?
Franchement, pas vraiment. J'ai été souvent choisi durant la première saison, mon équipe l'a remportée avec Roberto… Donc, d'après moi, la production a voulu mettre les deux nouveaux coachs en avant. Au début du moins… Ce qui est assez malin. Mais les blinds restent assez bon enfant, la partie la plus intéressante pour nous, c'est les lives. Là, nous pouvons vraiment montrer de quoi notre équipe est capable, en direct.
Il y a aussi une compétition de charme entre Marc et vous…
Marc et moi sommes les seuls mecs, on doit se battre (rire). Et puis, on a un ego d'artiste, un petit peu surdimensionné. Donc, on a envie de se rassurer quelque part ; ce qui donne des "fights" très drôles. À côté de ça, j'admire vraiment Marc. Je l'ai découvert dans cette édition et le courant passe vraiment bien.
La RTBF a annoncé que le niveau des talents était plus élevé cette saison. Vous confirmez…
Il n'est pas plus élevé, il est différent en terme de professionnalisme. L'année dernière, les talents n'avaient pas de background pro. Cette fois-ci, nous accueillons des choristes, des gens du Conservatoire… Rassurés par la première saison, ils sont aussi venus tenter leur chance.