
Côte d'Azur: les dessous d'une cash machine

Ah, la Côte d’Azur, son rosé, ses cagoles et ses reportages estivaux sur l’envers d’un décor ensoleillé qui prend les touristes pour des couillons. Sur un ton de catastrophe imminente propre au genre et avec les fausses révélations scandaleuses de type "et le patron n’hésite pas à facturer ses bouteilles de vin deux fois plus cher qu’il ne les achète" qui amusera les représentants de l’Horeca, le magazine s’intéresse au passionnant business des emplacements. Des bords de mer sur lesquels s’installent des plagistes qui facturent 30 € la journée de bronzette aux terrains normalement réservés aux cigales qui voient fleurir des villas aux vues de rêve, beaucoup de dossiers sont gérés par l’Etat français et par des maires pas toujours très branchés "liberté-égalité-fraternité".
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