
Vampire Diaries, une cinquième saison scolaire

Près de sept ans après son lancement, elle est toujours en vogue. Faut dire que cette série, qui conte les amourettes d’ados humains avec des créatures de la nuit (vampires, sorcières ou loups-garous), ne ménage pas ses efforts pour se renouveler. Quitte, parfois, à devoir faire le deuil de certains de ses acteurs phare, comme cela se produira prochainement. Pour le moment, toutefois, pas question de changer une équipe qui mord les téléspectateurs. Et ce, quand bien même la production gagne une nouvelle scénariste en chef, à savoir Caroline Dries, qui avait par le passé fait ses dents notamment sur Smallville ou la resucée (ratée) de Melrose Place.
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Précédemment, Vampire Diaries franchissait un point de non-retour en transformant Elena (Nina Dobrev), sa figure de proue, en suceuse de sang. Fallait bien que ça arrive un jour. Mais en cette saison 5, la fiction fantastique qui en est à sa 7e année aux USA prend un nouvel élan en inscrivant certains de ses héros dans le cadre de l’université, dont Elena et Caroline (Candice Accola), vampire elle aussi. L’occasion également d’introduire des personnages flambant neufs (Shaun Sipos, vu - coïncidence? - dans le remake de Melrose Place) et, par là même, de s’essayer évidemment à des flirts. Jeremy (Steven R. McQueen, le petit-fils de Steve McQueen), le cadet d’Elena, lui, a quelques soucis. Non content d’être baby-sitté par Damon (Ian Somerhalder) - l’ancien méchant du feuilleton - le voilà sujet aux apparitions de son ex-fiancée Bonnie (Kat Graham), pourtant décédée… L’autre fil conducteur de ces inédits, enfin, s’articule autour des motivations de Silas, cet être maléfique qui a volé l’apparence de Stefan (Paul Wesley) - l’un des soupirants d’Elena - après s’être débarrassé de ce dernier. Classique, souvent tarabiscoté, mais encore efficace.