
Quand Harry rencontre Meghan

Nathalie, Chelsy, Cressida… Nombreuses sont les femmes qui se sont succédé aux bras d'Harry, frère du très sobre William et enfant terrible de la monarchie britannique. Traumatisé par le décès de sa mère, sa filiation remise en question par les tabloïds, Harry a lui-même admis qu'il se serait bien vu en bad boy. Sa jeunesse ne manque pas de coups d'éclats, de son déguisement en nazi aux photos de lui nu prises dans une chambre de Las Vegas, en passant par les pétards qu'il fume allégrement sans se cacher. Mais subtilement, Harry change. Plus accessible que son aîné, militaire lors de la guerre en Afghanistan et engagé, comme sa mère, dans les causes humanitaires, élu personnalité préférée de la monarchie, Harry est désormais le prince idéal.
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Un homme aussi qui n'hésite pas à aller à l'encontre de l'étiquette et qui impose sa fiancée dans les couloirs de Buckingham. Une véritable révolution. Meghan Markle, révélée grâce à son rôle dans Suits, est en effet américaine, plus âgée, roturière, métisse et surtout divorcée. Ce qui n'empêche pas la reine Elizabeth d'accepter l'union de son petit-fils. Harry n'est de toute façon que sixième dans l'ordre de succession au trône depuis la naissance du troisième enfant de Kate et William, et l'occasion de resserrer les liens entre la royauté et le peuple trop énorme que pour ne pas être saisie. Cependant, pour devenir Duchesse, Meghan devra elle aussi faire des sacrifices. Comme mettre un terme à sa carrière d'actrice, se faire discrète, accepter la permanence des gardes du corps, changer de religion… Et apprendre à saluer correctement. elle dont le geste ressemble, comme l'explique un expert de l'étiquette britannique, "à une palourde". Ce qui doit bien amuser Dirty Harry.