
Viva For Life Le prime de lancement

Diffusion le 17 décembre à 20h25 sur La Une
En huit éditions, Sara De Paduwa, ses complices Ophélie Fontana et Adrien Devyver et leur séjour dans le Cube sont devenus “la vitrine” de Viva for Life. Cette année, l’opération visant à lutter contre la pauvreté infantile est d’une nécessité absolue: “Pour nous, c’était essentiel d’être présents. Avec le COVID, un nombre encore plus important de familles se retrouve dans la précarité. Les associations de terrain ont tiré la sonnette d’alarme: elles ont besoin de soutien plus que jamais”, explique Sara De Paduwa.
La lecture de votre article continue ci-dessous
Mais la crise sanitaire a également compliqué l’organisation de Viva for Life: “Vu les conditions particulières, il y aura une version inédite de la campagne. D’abord, Ophélie, Adrien et moi avons fait un test COVID une semaine avant d’entrer dans le Cube et nous sommes en quarantaine jusque-là. Nous serons une bulle à trois, nous n’aurons de contact direct avec personne d’autre. Ensuite, le Cube se trouvera au pied de la tour Reyers au lieu de la Grand-Place de Tournai. Comme la population belge, nous serons à la maison”.
Autre changement, plus difficile à appréhender: cette année, les animateurs enfermés 144 heures dans le Cube n’auront pas le support du public qui vient leur dire bonjour - et en profite pour verser son obole: “D’habitude, c’est le soutien et la chaleur des gens, à l’extérieur, qui nous donnent de l’énergie, surtout en fin de semaine. L’ambiance est déterminante et, cette année, elle sera très différente” regrette la présentatrice. “Mais les alternatives proposées sont très chouettes, que ce soient les défis proposés pour la récolte de fonds ou dans le Cube: des invités viendront nous voir à travers une vitre, nous aurons beaucoup d’échanges avec le public via les réseaux sociaux”, tempère-t-elle. La bonne humeur et la motivation y seront - l’essentiel pour cette opération avant tout solidaire.