
La réaction d’Alex Vizorek sur le sort de Florence Mendez à France Inter

«Vous avez été nombreux.ses à me demander pourquoi l’on ne m’entend plus sur France Inter. La vérité, c’est que je n’y suis plus parce que j’ai été victime de harcèlement de la part d’une (très) proche collaboratrice de Nagui». Dans un communiqué publié il y a une dizaine de jour sur Instagram, l’humoriste belge Florence Mendez dénonçait le harcèlement qu’elle estime avoir subi lors da collaboration dans l’émission "La bande originale", présentée sur France Inter par Nagui.
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Depuis, la chaine française avait réagi, le directeur des productions de France Inter, Yann Chouquet, disant ne pas avoir «pas constaté de situation de harcèlement».
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Alors qu’il publie actuellement un livre destiné aux enfants, Alex Vizorek est revenu sur l’épisode Mendez dans les colonnes de la DH. «C’est son ressenti et France Inter a plutôt bien réagi, a estimé l’humoriste, qui est toujours au micro d’une autre émission de la radio française («C’est encore nous»). Ils lui ont demandé de venir en parler et mettre les choses à plat vu que cela n’avait pas été fait à l’époque apparemment. Ce n’est pas mon émission donc il est difficile de donner un avis mais j’espère que cela ne va pas briser le pont et qu’ils ne vont pas se dire : 'plus de Belges ! (sourire)».
Les Belges toujours à la mode en France?
Plus généralement, à propos des nombreux humoristes Belges ayant percé en France, Alex Vizorek ne pense que cette vague noir-jaune-rouge soit passée de mode.
« On est plutôt bien installé. Une vague ça part et revient. C’est plutôt un tsunami. Après Guillermo Guiz ou Fanny Ruwet, Lisa Delmoitiez est aussi arrivée récemment. Quant à Charline [Vanhoenacker, ndlr], elle n’est plus tous les jours le matin (sur France Inter, Ndlr.) mais cela faisait huit ans aussi… Ce n’est pas du tout un désaveu. À un moment, il faut bouger (…). On n’a pas un vivier inépuisable non plus… Et ce n’est pas parce qu’on est Belge qu’on est bon. Un petit peu, c’est vrai, mais tu ne peux pas prendre n’importe quel mec qui a fait deux phrases de stand up et dire que c’est le prochain génie. Si tu bosses, tu le seras. La nouvelle vague arrive», concluait l’humoriste dans la DH.