

La planète cinéma n’en revient toujours pas, un an après sa sortie, le succès phénoménal de Top Gun: Maverick a tout renversé sur son passage, à tel point qu’il est encore à l’affiche dans certaines parties du monde, comme au Japon. Steven Spielberg lui-même a remercié le comédien lors du traditionnel dîner des Oscars en février dernier: “Tu as sauvé les fesses de Hollywood!”, lui a lancé le réalisateur, heureux du retour des spectateurs dans les salles après deux années catastrophiques dues à la pandémie. Désormais jeune sexagénaire, Cruise semble imperméable au temps qui passe, entre physique athlétique, sourire ultra-bright et cascades folles, notamment dans la saga Mission: Impossible, dont le dernier volet en date, Dead Reckoning partie 1, sortira ce 12 juillet et promet d’être à nouveau ébouriffant.
Mais derrière une filmographie impressionnante et une carrière menée avec un professionnalisme obsessionnel, l’homme intrigue côté vie privée. Membre de l’Église de scientologie depuis le milieu des années 80, son prosélytisme excessif lui a valu de nombreuses critiques, même s’il est désormais plus discret à ce sujet. Et personne n’a oublié certaines frasques - Cruise sautant sur le canapé d’Oprah Winfrey en 2005, hystérique d’amour pour Katie Holmes, sa compagne de l’époque - qui avaient poussé les studios Paramount à mettre fin à leur collaboration avec lui. Ambre Chalumeau, chroniqueuse de Quotidien, s’est penchée sur le sujet pour décortiquer le phénomène Tom Cruise, devenu aujourd’hui, malgré ses zones d’ombre, le symbole de la puissance de Hollywood.