
Les secrets de fabrication de la feta, ce bout de Grèce

Diffusion le 5 juillet à 19h50 sur RTL TVI
Voilà maintenant une bonne vingtaine d’années - depuis 2002, précisément - que la feta bénéficie d’une appellation d’origine contrôlée sur notre continent. Traduction: toute feta arborant la dénomination AOC doit obligatoirement être originaire de Grèce continentale ou de la région de Lesbos, tandis que son lait doit provenir de chèvres de races locales, élevées de façon traditionnelle et se nourrissant uniquement de la flore des pâturages des régions éligibles. Vous savez tout. Il n’y a donc plus aucune raison de vous faire berner lorsque vous cherchez la feta parfaite pour sublimer vos salades lors de votre prochaine virée au supermarché, peu importe le pays d’Europe où vous voyagez.
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Autant dire que vous allez passer un été gastronomique encore plus délicieux que de coutume. Surtout que le magazine Coûte que coûte va encore plus loin, menant une enquête copieuse afin de révéler chaque secret de fabrication de ce “bout de Grèce” qui ne connaît pas la crise. S’il s’agit d’un fromage vieux comme le monde, il reste aussi l’un des moins chers au kilo, raison pour laquelle son empire est immense. De passage en France cet été, avec l’envie de goûter la meilleure feta de grande surface? Ça tombe bien: le magazine hexagonal 60 millions de consommateurs vient justement de passer au peigne fin 11 fetas AOP et 5 fromages de brebis, histoire de dégoter le produit qui se distingue des rayons frais. Comme on est sympa, on vous partage le verdict: en première place, il s’agit simplement de la feta grecque bio de la marque U, tandis que la deuxième place revient à la feta Dodoni qui est aussi la préférée du peuple grec. À consommer avec un peu d’huile d’olive et d’origan, voire un petit verre d’ouzo sorti du frigo. Avec modération, dites-vous? Et puis quoi encore?