Café Bastoche, le bon petit plan d'Eric Boschman

Mes pas m’ont porté il y a peu jusqu’à la Bastoche. Temple des nuits étudiantes bruxelloises. Qu’est-elle devenue?

café bastoche
© DR

Quand il n’y avait plus rien d’ouvert, dans le quartier de l’ULB, il restait le Picotin, la Bécasse et la Bastoche. Le Picotin est un lointain souvenir, la Bécasse résiste bien... La Bastoche? Ses repreneurs ont donné un joli coup de kick à l’endroit. La déco s’est délicatement gentrifiée. Les plaques nominatives existent toujours le long de la banquette, mais on est monté d’un cran. On s’y sent toujours bien, la terrasse est parfaitement placée pour les coups de soleil printaniers, il fait bon s’y poser pour humer le temps qui passe.

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L’accueil est plutôt sympa et efficace. La carte propose les éternelles pâtes. Les mythiques “penne Bastoche” sont toujours là, à 15 € (18 € pour les géants mais il faut vraiment être bucheron en retour de chantier pour arriver au bout d’un géant). On trouve maintenant des planchettes saucisson (fuet) et comté à 15 €, mais vous pouvez jeter votre dévolu sur des croquettes aux crevettes et autres grignotages. N’oubliez pas non plus les boulettes (18 €) ou le steak-frites (23 €) dans le cadre des “plats nationaux”. Je ne suis pas certain que le smash burger en soit un, mais qu’importe, ne boudons pas notre plaisir, c’est vachement bien exécuté et plutôt bon d’ailleurs. Pour vous donner l’envie d’y aller ou d’y retourner, sachez que vous y passerez un joli moment où vous pourrez convoquer vos souvenirs et titiller la nostalgie si le cœur vous en dit.

 

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Chaussée de Bondael 473, 1050 Ixelles. 02/640.34.17.

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